A l’inverse du chien, mammifère strictement social qui se plaît en meute, le chat est un solitaire. Par essence, il est Le chat qui s’en va tout seul, comme l’a écrit l’écrivain britannique Rudyard Kipling dans Histoires comme ça.
« Quand la lune se lève […], il est Le chat qui s’en va tout seul, et tous les lieux se valent pour lui. Alors, il s’en va par les chemins mouillés du bois sauvage, sous les arbres et sur les toits; remuant la queue et tout seul . »